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Lamentablement – hélas et ohimé – après des mois et des mois d’écritures, répétitions, réécritures, discussions et gravissimes discussions sur le contenu de la pièce Théâtre Impossible – et même sur la question de savoir si la pièce en a un (contenu), quel qu’il soit, ce qui n’est pas du tout évident - l’équipe est arrivée à la conclusion qu’il est absolument impossible de mettre en scène “Théâtre Impossible” tel que prévu. | Lamentablement – hélas et ohimé – après des mois et des mois d’écritures, répétitions, réécritures, discussions et gravissimes discussions sur le contenu de la pièce Théâtre Impossible – et même sur la question de savoir si la pièce en a un (contenu), quel qu’il soit, ce qui n’est pas du tout évident - l’équipe est arrivée à la conclusion qu’il est absolument impossible de mettre en scène “Théâtre Impossible” tel que prévu. | ||
− | Cette impossibilité, paradoxalement, plus qu’une pierre dans la chaussure, nous va comme un gant, ou pour mieux dire comme rethorique dans la langue, nous permettant | + | Cette impossibilité, paradoxalement, plus qu’une pierre dans la chaussure, nous va comme un gant, ou pour mieux dire comme rethorique dans la langue, nous permettant imprévisiblement de présenter, dans les dattes prévues, une chaussure, une main et une langue. C’est déjà ça. |
− | - Avec [[Leopold von Verschuer]] créée à Acarte, Fondation Gulbenkian, Lisbonne, Novembre 1998 | + | - Avec [[Leopold von Verschuer]] et [[Alínea B. Issilva]] (en voix off), décors de [[João Tabarra]] créée à Acarte, Fondation Gulbenkian, Lisbonne, Novembre 1998 |
Version du 4 septembre 2007 à 11:48
Théâtre Impossible
Synopsis
Lamentablement – hélas et ohimé – après des mois et des mois d’écritures, répétitions, réécritures, discussions et gravissimes discussions sur le contenu de la pièce Théâtre Impossible – et même sur la question de savoir si la pièce en a un (contenu), quel qu’il soit, ce qui n’est pas du tout évident - l’équipe est arrivée à la conclusion qu’il est absolument impossible de mettre en scène “Théâtre Impossible” tel que prévu. Cette impossibilité, paradoxalement, plus qu’une pierre dans la chaussure, nous va comme un gant, ou pour mieux dire comme rethorique dans la langue, nous permettant imprévisiblement de présenter, dans les dattes prévues, une chaussure, une main et une langue. C’est déjà ça.
- Avec Leopold von Verschuer et Alínea B. Issilva (en voix off), décors de João Tabarra créée à Acarte, Fondation Gulbenkian, Lisbonne, Novembre 1998